Depuis le 31 juillet, des caravanes s’étaient installées en toute illégalité sur le parking de délestage de l’hippodrome. Une mise en demeure de quitter leur avait été signifiée, mais une partie a résisté... Frappés d’une mise en demeure de quitter les lieux, que certains n’ont pas daigné respecter, les gens du voyage qui campaient illégalement sur un terrain jouxtant l’hippodrome de la Fajeolle ont finalement été aidés à partir par la compagnie de CRS appelée en renfort. C’est ce jeudi 11 août vers 8 h 30 que l’intervention de police a eu lieu sans échauffourées. Avec pour les voyageurs squatteurs, une paire d’heures pour quitter les lieux. Dimanche 31 juillet, c’est aux environs de midi qu’une quarantaine de caravanes s’était installées illégalement à la Fajeolle, sur le parking de délestage de l’hippodrome. Pour ce campement sauvage, ce groupe appartenant à la communauté des gens du voyage n’avait pas hésité à tirer des lignes pour se brancher sur les candélabres, afin de s’alimenter en électricité. Pour leur approvisionnement en eau, c’est tout simplement à une borne incendie qu’ils se sont connectés. Réinstallés du côté de Villemoustaussou. Dès les premiers instants de cette installation sauvage sur un terrain appartenant à la Ville, les agents de la police municipale avaient pris contact avec le responsable du groupe, tout en procédant aux constatations qui s’imposaient, et en relevant le numéro des plaques d’immatriculation de chacun des véhicules présents sur le site. Sur cette situation, le cabinet du maire a saisi les services de la préfecture à deux reprises, avant qu’un arrêté de mise en demeure de quitter les lieux sous 72 heures ne soit signifié aux campeurs illégaux. Ils avaient jusqu’au lundi 8 août pour partir. Le jour du l’ultimatum, seule une quinzaine de caravanes avait décidé d’aller ailleurs, alors qu’un autre groupe choissaient de rester en prextextant l’hospitalisation d’un des leurs... Le groupe de caravanes illégales étant parti de la Fajeolle, nous avons appris qu’il serait désormais positionné du côté du territoire de Villemoutaussou.
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L’accueil et l’habitat des gens du voyage La notion de gens du voyage renvoie à des personnes dont l’habitat traditionnel est constitué de résidences mobiles installées sur des aires d’accueil ou des terrains prévus à cet effet art 1 de la loi n° 2000-614 modifiée relative à l’accueil et à l’habitat des gens du voyage. C’était une catégorie juridique du droit introduite par la loi du 3 janvier 1969 sur l'exercice des activités économiques ambulantes et le régime applicable aux personnes circulant en France sans domicile ni résidence fixe. La loi n° 2017-86 du 27 janvier 2017 relative à l’égalité et à la citoyenneté a abrogé la loi de 1969, jugée discriminante, avec comme conséquences la suppression des titres de circulation, de l’obligation de rattachement à une commune et du régime spécifique de domiciliation. La loi n° 2000-614 du 5 juillet 2000 relative à l'accueil et à l'habitat des gens du voyage pose le principe de participation des communes à l’accueil des gens du voyage. L’esprit de la loi n° 2000-614 du 5 juillet 2000 La loi du 5 juillet 2000 relative à l’accueil et à l’habitat des gens du voyage a pour objectif de définir un équilibre satisfaisant entre, d’une part, la liberté constitutionnelle d’aller et de venir et l’aspiration légitime des gens du voyage à pouvoir stationner dans des conditions décentes et, d’autre part, le souci également légitime des élus locaux d’éviter des installations illicites qui occasionnent des difficultés de coexistence avec leurs administrés. Cet équilibre est fondé sur le respect, par chacun, de ses droits et de ses devoirs les collectivités locales, auxquelles la loi confère la responsabilité de l’accueil des gens du voyage ; les gens du voyage eux-mêmes, qui doivent, dans leur comportement, être respectueux des règles collectives ; l’État, qui doit être le garant de cet équilibre et affirmer la solidarité nationale. L’outil le schéma départemental d’accueil des gens du voyage À cette fin, la loi prévoit dans chaque département l’élaboration d’un schéma d’accueil des gens du voyage coécrit par l’État et le conseil départemental qui, en fonction des besoins constatés, doit prévoir le nombre, la localisation et la capacité des aires permanentes d’accueil, des terrains familiaux locatifs et des aires de grand passage à créer par les établissements publics de coopération intercommunale EPCI, ainsi que les interventions sociales nécessaires aux populations concernées. Les communes de plus de 5 000 habitants figurent obligatoirement à ce schéma. En contrepartie, l’État peut accorder des subventions spécifiques aux EPCI pour réaliser ces aires et terrains, souvent après avoir eu recours à une mission d’ingénierie qui aide à cerner les besoins des gens du voyage. Par ailleurs, les habitudes de vie des gens du voyage évoluant et la sédentarisation se développant de manière accrue, des logements adaptés peuvent être réalisés avec un financement par les aides à la pierre. Les différentes formes d’accueil et d’habitat des gens du voyage L’aire permanente d’accueil ayant vocation à accueillir les itinérants. L’aire de grand passage destinée à répondre aux besoins de déplacement des gens du voyage en grands groupes à l’occasion des rassemblements traditionnels ou occasionnels, avant et après ces rassemblements. Le terrain familial qui répond à une demande des gens du voyage qui souhaitent disposer d’un ancrage territorial à travers la jouissance d’un lieu stable aménagé et privatif, sans pour autant renoncer au voyage une partie de l’année. Les bailleurs sociaux peuvent en réaliser Le logement social adapté, accordé sous conditions de ressources.
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